Je viens de laisser repousser un discret ticket de métro régulièrement taillé au plus court sur mon pubis rasé tout autour (ma petite caille et mon cul l'étant aussi), histoire de ne plus avoir de fourrure qui dépasse de mes string mais de tout de même pouvoir montrer que je suis une femme avec un peu de poils là où il en faut, de ne pas avoir la motte bien lisse d'une gamine mais de malgré tout vous laisser regarder comment je suis fendue par dessous en demeurant en mode glamour avec la cramouille apparente ...

L'avantage, c'est qu'avec ce peu de poils que je conserve bien élagués sur le devant comme simple rappel de ma féminité, mes orifices sont bien dégagés pour autant, alors je peux ainsi me faire lécher et pénétrer plus facilement par tous mes trous sans plus aucune barrière ni pudeur, mais hélas, malgré le rasage quotidien auquel je m'astreins, la trace foncée de mon intense pilosité reste toujours visible sur ma peau blanche.

Même si je suis devenue une femelle mature et cougar, est-ce que ça vous ferait envie de me lécher la cocotte ou de me défoncer la chnèque ou la rondelle en levrette si je les entretiens bien nettes comme cela ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Je n'en pouvais plus d'être tellement poilue, surtout lorsque j'allais me faire tringler chez de jeunes étalons eux-mêmes bien rasés qui devaient écarter les longues mèches fournies de mon énorme buisson pour pouvoir me branler la chnèque, me lécher les babines et le clitoris ou m'enfiler leur zgègue bien bandé comme je les adore pour me ramoner la cheminée jusqu'à la matrice !

C'est pour faciliter l'accès à mon intimité que j'ai choisi de me rendre totalement lisse et que chaque matin sous la douche, je me rase soigneusement de partout, il fallait bien qu'à un moment ou à un autre de ma vie de femme, je finisse par supprimer ma touffe conservée naturelle et sauvage pendant tellement d'années.

Vous n'imaginez même pas le bonheur pour moi de retrouver ma chatte comme avant mon adolescence, toute glabre, immédiatement accessible, parfaitement visible et surtout, de pouvoir vous laisser regarder à volonté comment je suis fendue entre mes cuisses !

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Mon jeune petit copain a débarqué chez moi en plein après midi par surprise, il avait envie de tromper encore une fois sa femme avec moi, il vient de plus en plus souvent décharger chez moi, alors ma première action fut de le sucer avant qu'il mette sa capote, je voulais son goût de mâle en rut dans ma bouche, sentir son petit jus couler dans ma gorge, je sentais ma cyprine se mettre à ruisseler dans ma petite culotte ...

Je me suis appliquée, je voulais qu'il ait la trique, qu'il ait une vraie bandaison au moment de se couvrir avec un préservatif et ensuite, je l'ai repris en bouche pour qu'il durcice encore mieux, j'aime son bel engin et je sais que je peux en faire un vrai pilon pour me faire défoncer les orifices car c'est ça que j'aime !

J'ai moi aussi une véritable attirance pour ce garçon et l'envie m'a poussée à me dévêtir très rapidement.

A genoux devant lui, soumise à mon jeune étalon, j'ai continué de lui pomper le jonc en même temps que je me caressais les nichons pour m'exciter plus encore et lui offrir le spectacle d'une salope en demande ...

Puis, quand je l'ai senti prêt à me limer, je me suis levée en laissant brutalement tomber ma jupette au sol, j'étais pressée qu'il me baise, sans doute toute autant que lui qui était venu pour m'éclater par tous les trous.

Je me suis tournée pour lui montrer mon cul, j'étais prête et déterminée à me faire enfiler son braquemart par où il voulait et je savais qu'il n'allait pas résister longtemps à la tentation de me visiter de fond en comble ...

Il est passé derrière moi, m'a présenté sa queue devenue turgescente et raide, c'était une vraie matraque tellement elle était dure !

Je l'ai chopée et me la suis enfilée dans ma fournaise sans prendre le temps de retirer mon string, j'en ai juste écarté le tissu dans l'urgence, je voulais qu'il me pénètre vite en levrette, j'avais moi aussi un vrai besoin de sexe et je ne voulais pas perdre une minute de plus.

Sa bite s'est enfoncée en moi comme dans du beurre, j'ai senti son dard me ramoner la cheminée pendant de longues minutes puis d'un coup, s'enfoncer dans mon petit oeuillet, je criais, que dis-je, je hurlais soudain ma douleur anale rapidement transformée en jouissances une fois dilatée, je hurlais aussi mes orgasmes de folie à n'en plus finir qui m'ont dévastée de toutes parts, à peine terminés que de nouvelles vagues de plaisir me reprenaient et lui qui n'arrêtait pas de me piner le cul comme un sauvage en me traitant de chienne lubrique, de salope, de putain, même avec le préservatif j'ai senti à ses coups de reins qu'il allait dégorger dans mon fiak et ça n'a pas loupé, il est venu, j'étais défoncée, déconnectée, partie dans un autre monde ...

Je suis dingue de ce garçon que sa compagne ne baise pas souvent et qui vient régulièrement se vider les couilles en moi ou sur moi, me voici sa maîtresse régulière et moi la femme devenue mature mais cougar, je suis particulièrement fière d'avoir un partenaire aussi bien monté qui est mon cadet de presque une trentaine d'années, pour venir me soulager de mes pulsions féminines qu'il me faut assumer en les faisant apaiser de la sorte, elles seraient insoutenables autrement malgré des masturbations auxquelles je me livre plusieurs fois par jour pour me faire baisser la pression en bas, j'ai tellement besoin d'être prise ...

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Vu dans quel état de pilosité extrême j'étais arrivée en 2024 après quelques années sans rien avoir taillé, je pense que vous comprendrez facilement pourquoi j'ai réellement éprouvé le besoin de me raser totalement en 2025.

Avec une toison pareille, aussi spectaculaire, c'était vraiment devenu trop compliqué à gérer lorsque je me masturbais, me faisais lécher et pénétrer par mes partenaires ou si je voulais simplement aller à la plage en mini bikini, ça sortait de partout !

Je vous assure qu'une fois libérée de cette énorme fourrure envahissante, pénible à supporter et franchement inesthétique à ce stade tant elle était abondante, je me suis sentie revivre !

Même si la corvée du rasage au quotidien est toujours ennuyeuse, voire irritante, même si ma peau ne sera jamais aussi lisse et soyeuse que du temps de mon enfance, le plaisir de me retrouver glabre comme de pouvoir facilement montrer comment je suis fendue, est incomparable pour une femme telle que moi, devenue si touffue au fil des années de sa vie d'adulte !

Et puis c'est tellement plus confortable quand vient le moment de me faire tringler ou simplement de calmer par moi-même mes ardeur sexuelles lorsque je me mets à bouillonner trop fortement entre les cuisses ...

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Comme plusieurs fois par mois, mon jeune amant de Lyon qui vit en couple et trompe régulièrement sa moitié avec moi, est venu me rendre visite pour une nouvelle partie de jambes en l'air.

J'étais assise sur le canapé, face à lui, les jambes déjà un peu écartées, j'avais secrètement envie de sexe, de jouir, de sentir sa teube entrer en moi, de faire gicler son foutre, mais lui était si excité qu'il avait déjà sorti sa queue en érection qu'il a approché de moi pour que je la suce, il sait que j'aime beaucoup ça ...

Et bien entendu, j'ai sucé son merveilleux chibre avec une gourmandise que je ne saurais cacher !

Comme il bandait de plus en plus raide, je me suis levée et sans prendre le temps de quitter ma robe que j'ai seulement soulevée, j'ai commencé à retirer ma petite culotte transparente qui laissait deviner ma fente dessinée sous le tissu, entretenue sans plus aucun poil.

Je me suis tournée pour m'ouvrir et me donner, il me fallait la vigueur d'une jeune bite pour me soulager ...

Je me suis présentée pour être prise en levrette, me suis penchée en avant et j'ai guidé sa trique vers mes orifices à limer !

Il s'est enfilé d'un coup en moi, je me suis faite successivement défoncer par tous mes trous, j'ose l'avouer sans pudeur même si d'ordinaire, je ne suis pas très attirée par la sodomie, mais lorsque ce garçon passe soudainement de ma fournaise à mon cul, je le laisse faire !

J'adore le sexe et j'en ai très souvent besoin pour calmer mes ardeurs de plus en plus insoutenables, c'était déjà comme ça lorsque j'avais 12, 13 ou 14 ans, même à 20 ans, à 30 ou à 40, mais là, à la cinquantaine bien avancée, je vous jure que je ne pense qu'à ça et de plus en plus souvent !

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr