Lorsque je restais toute poilue, il me fallait sans cesse tenir écartées les longues mèches de ma babasse pour faire le chemin à mes partenaires au moment pour eux de frotter leur bite raidie dans les replis de ma cramouille de femelle qui ne pense qu'à s'encanailler toujours un peu plus.

Mais une fois complètement rasée, je peux profiter pleinement de ce moment exquis que j'aime tant sans avoir à me soucier de rien, je peux m'abandonner, m'occuper de mes nichons pour me rajouter du plaisir pendant que le mâle qui veut me tringler commence par venir se frotter le dard sur ma craquette pour d'abord limer sans entrer en moi, seulement entre mes babines ruisselantes de mouille et sur mon clitoris baveux que cela excite jusqu'à déjà me conduire à des orgasmes préliminaires avant même la pénétration qui me rend ensuite toujours aussi démesurément hystérique.

En privant ma chatte de sa fourrure intime devenue trop fournie, de sa touffe devenue trop longue et encombrante au fil des années, plus besoin pour moi de guider le vit de mes étalons entre mes poils pour qu'ils puissent se le frotter facilement sur ma fente rendue pleinement visible avant de finalement s'engouffrer dans ma chagatte pour s'y répandre, un vide-couilles que tous me décrivent comme accueillant en étant demeuré bien étroit ...

Et vous, me voyant ainsi totalement glabre même si ma pilosité particulièrement fournie laisse toujours sa marque foncée sur ma peau blanche malgré le rasage, seriez vous prêts à juste venir me frotter le con avec votre bite bien bandée pour commencer à me faire jouir avant de me défoncer ensuite jusqu'à la matrice en me pénétrant bien à fond ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Au début de l'automne 2024, ma chatte était encore toute poilue, abandonnée à son état le plus naturel et c'était donc un énorme buisson qui pendait impudiquement entre mes cuisses de femelle mature et cougar, s'étalant sur les côtés bien au-delà des limites de mon maillot et aussi sur mon ventre velu jusqu'à mon nombril, mais dans cet état, il m'était impossible de vous exhiber facilement ma fente !

Les plus jeunes de mes amants, parfois âgés de seulement 18 ou 19 ans, étaient toujours très surpris en me déshabillant car non habitués à trouver des toisons aussi fournies entre les cuisses des filles de leur génération, le plus souvent entièrement rasées, les plus audacieuses d'entre elles ne conservant qu'un modeste ticket de métro pour toute marque visible de leur féminité d'adultes quand elles l'assument.

Et vous, est-ce que ça vous aurait impressionné de me voir avec le ventre, la motte et le con à ce point hirsutes pour m'offrir à vos pulsions sexuelles, pour me faire baiser sans retenue et me faire honorer de vos jets de sperme sur mon énorme touffe ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Me voici après quelques jours durant lesquels je me suis seulement rasée le ventre, le tour du maillot et le cul, mais pas du tout sur le mont de vénus ni sur la fente, sauf que là, pour que vous puissiez vous rendre compte et comparer, j'ai tout de même rasé un côté de ma cramouille et du coup ma cocotte apparaît bien mieux !

Si je décide de conserver seulement un peu de poils dans le genre d'un ticket de métro sur la motte en ayant le tour entretenu bien lisse, aimeriez vous que je reste avec des poils taillés courts sur le con tel que vous en voyez sur un côté de mon minou, ou préféreriez vous que mes parties intimes du dessous soient totalement rasées telle que je le suis sur l'autre côté ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

En 2023, je ne m'étais pas rasée ni tondue la babasse ni le reste depuis bien longtemps et j'étais redevenue totalement touffue entre mes cuisses et partout autour, une vraie jungle sur ma chnèque, alors je devais systématiquement écarter les longues mèches fournies de ma toison épaisse pour parvenir à laisser entrevoir ma fente, mes babines ou ma pissette qui se cachaient sous ce pelage intime exceptionnel, je rêvais en secret d'un abricot tout glabre, de retrouver la petite caille parfaitement  lisse et joliment fendue de ma prime jeunesse ...

Comment pouvais je, alors que j'étais à ce point là devenue velue de partout, résister à l'envie de finir par me raser la foune et tout autour comme du temps de mon adolescence lorsque je me préservais encore de toute pilosité, car ce n'est pas si facile pour une nana dotée d'une telle fourrure, de se faire lécher la moule comme de se faire enfiler de bonnes bites bien bandées pour se faire ramoner le con ou défoncer la rondelle sans être forcément gênée par un tel système pileux pour le moins envahissant pouvant en plus, s'avérer dérangeant pour le mâle partenaire devant trouver son chemin dans une pareille brousse ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Quand je ne me rase pas la chatte ni le tour du maillot pendant 10 jours mais seulement le ventre, les aisselles, les cuisses et les jambes pour gagner du temps, voilà que mes poils paraissent déjà bien fournis sur mon minou !

Dites moi : que diriez vous que je me passe simplement la tondeuse à 3 ou 4 millimètres sur la babasse une ou deux fois par mois pour montrer que je suis poilue tout en empêchant ma toison de vraiment repousser plus longue afin que ma fente reste bien visible ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr