Rappelez-vous, quand je ne me rasais pas, j'avais la chatte et le cul totalement hirsutes !

Alors, cette année, j'ai remédié au problème et radicalement changé de style, en me rasant intégralement la chnèque et le reste ...

Sauf que même en me rasant la motte et la caille tous les jours, pour que mes babines bien roses puissent continuer de vous rester visibles, c'est un véritable hérisson que j'ai entre les cuisses au lever le matin, à cause de la forte repousse des poils si drus de ma toison intime, tellement fournie, qui s'étale si largement, bien au delà des limites de mon maillot ... 

Est-ce qu'ils vous plaisent, mon abricot de salope, tout barbu, et son sillon vaginal tout piquant, toujours prêt à se laisser labourer et défoncer par une belle pine bandée, raide comme une trique, qui voudrait y déverser la semence de ses couilles bien lourdes ?

Alors, profitez en pour regardez l'état de mon petit trou du cul le matin, même en me l'étant rasé la veille ...

Aimeriez-vous m'enculer ma rondelle et me fourrer ma cramouille au réveil, bien que je sois une femelle vraiment très poilue de nature, et que ce soit donc le moment de la journée où j'apparais forcément négligée ?

En tous cas, je suis toute émoustillée à l'idée que vous ayez la gaule en voyant mes orifices ainsi exhibés, sans plus aucune retenue ni pudeur, dénudés, prêts à se faire défoncer, et je ne rêve plus que de vous sentir en moi, et de vous purger les couilles ...

Bisous coquins.                  

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr

Je suis d'une nature si poilue, que lorsque je reste naturelle, j'ai le cul totalement rempli par une épaisse fourrure qui cache totalement mon petit trou, autant que le sillon de ma cramouille ...

Alors, pour être en capacité de mieux vous montrer mes parties les plus intimes, je me suis rasée intégralement !

Voulez-vous que je vous montre ma croupe de femme mature et cougar ?

En ayant la moumoune et le cul bien lisses, je peux enfin vous dévoiler les détails de mon petit trou ...

Moi, je mouille en publiant pour vous, ces photos salaces de mes parties sexuelles, alors dites moi si je vous fais bander, si je vous donne envie de gicler sur mon garage à bites de femme libertine et nymphomane, si vous avez envoyée la purée et vidées vos couilles en regardant ma babasse et mon petit oeillet de salope qui assume pleinement sa sexualité débridée, rendus totalement glabres et visibles d'une manière aussi impudique ...

Bisous coquins.                  

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr

Avec une pilosité pareille, aussi touffue, qui s'étale depuis mes fesses jusqu'à mon nombril, en recouvrant ma chatte toute entière, je suis une véritable femelle, totalement hirsute si je reste naturelle.

Pas étonnant, donc, que j'ai une repousse déjà aussi drue et piquante au terme de seulement 24 heures, et que je sois obligée de me raser le ventre, la chnèque et le cul entièrement tous les matins, si je veux rester lisse et glamour ...

Tous les jours, je dois donc absolument me soumettre à ma corvée de rasage, et me passer la lame partout, jusque dans les moindres replis de mon bel abricot bien charnu et sur mes babines, pour garder le con bien net et doux, sans trace apparente d'une repousse qui ferait sombre sur ma peau blanche, telle que j'apprécie de l'avoir retrouvée dénudée ... 

Mais ça reste un plaisir quand je me dis que c'est pour mieux vous montrer ma petite caille et son gros bonbon rose que les vibrations de mon rasoir éléctrique font baver d'envie, surtout si c'est pour vous faire bander bien raide et gicler en me voyant ainsi offerte ...

Bisous coquins.                  

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr

Avant, quand j'avais encore mon épaisse et longue toison pubienne gardée naturelle, vous ne pouviez même pas apercevoir ma pissette ... 

Maintenant que je me suis entièrement rasée la chnèque, quel bonheur de pouvoir vous l'exhiber bien plus facilement, d'une manière encore plus impudique !

Quand j'étais poilue, pour vous montrer ma source chaude de cette façon là, j'aurais été obligée de tenir écartées, les longues mèches de poils de ma petite caille. 

Alors, préférez-vous finalement cette vision encore plus salace de mon jet doré, qui jaillit de ma fente désormais totalement déboisée ?

Bisous coquins.                

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr

Comme il est bon de sucer le zob bien bandé d'un très jeune homme au sexe rasé ...    

Et s'agissant de l'un de mes amants les plus réguliers qui vient me sauter chaque semaine, c'est donc sans préservatif que lui et moi savons pouvoir faire l'amour en toute sécurité, ce pour quoi je lui glisse volontiers ma langue dans le méa pour le faire triquer plus encore, tout en dégustant ses gouttelettes ...

Aussitôt son bel engin mis en forme à ma convenance, j'ai commencé à faire glisser sa longue tige sur ma fente, devenue aisément accessible depuis que j'en ai supprimées les plus longues mèches de 17 cm qui me pendaient entre les cuisses, et dont les poils fournis poussaient même jusque dans les replis de ma choune.

Puis, j'ai doucement faite glisser sa teub fougueuse entre mes babines affolées ...  

Tout cela avant de m'enfoncer brusquement son pieu dans ma chnèque qui bavait déjà de toute sa cyprine, tant j'étais excitée ...

Que les allers et retours de son gourdin dans ma babasse étaient bons ...

Il me labourait le sillon de son magnifique phallus, et je commençais à entrer en voie orgasmique, enchaînant les jouissances les unes après les autres, jusqu'à sentir mon souffle coupé aux moments les plus chauds, ne parvenant même plus à crier, tant j'étais parfois au bord de l'évanouissement !

Il sortait et rentrait sans cesse son vît dans ma grotte, avec la brutalité d'un étalon en rut, et à chacun de ses coups de butoir, je faillissais, je ressentais le désir et l'envie se répendre dans tout mon bas ventre, me brûler les organes, quand d'un coup, il m'a défoncée sauvagement le con en m'engouffrant jusqu'à la garde, son énorme chibre dans ma moule qu'il astiquait, et là, je ne sentais plus que ses sacoches encore débordantes qui tapaient sur mon petit trou laissé velu, et son dard qui soudain, devait dégorger par saccades, tout son foutre chaud qui coulait sans retenue dans ma matrice dont les contractions m'entraînaient vers des contrées de plaisirs infinis, c'était l'extase, je ne me souviens plus très bien, mais je crois que j'ai dû perdre un peu connaissance, tellement ce fut intense ...  

Alors, qui pour venir me sauter comme lui, devant l'objectif indiscret et complice de mon photographe ?

Bisous coquins.                

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr