Joséphine de l'Île Maurice

Je l'avoue, même devenue cinquantenaire, je reste fascinée comme au jour lointain de mon dépucelage, dès lors que je vois qu'un jeune homme bande et se retrouve avec une véritable trique entre les cuisses parce qu'il a vu ma babasse redevenue hirsute !

J'aime les sucettes, et autant vous m'en proposeriez, autant j'en sucerais volontiers en y mettant tout mon amour pour le sexe masculin dont j'ai tant besoin pour me soulager de mes ardeurs de dame mature et nymphomane, que c'est bon de sentir dans ma bouche, le gland gonflé et dur d'un jeune puma, de laisser ma langue en dessiner les contours avec délicatesse pour suciter encore plus de désir, comme il est excitant de flitrer avec son méat, de le titiller, je suis très gourmande de joli braquemards !

Quand je l'ai jugé à point, je me suis mise sur le dos, j'ai écarté les cuisses, et je me suis sexuellement offerte à lui pour une partie de jambes en l'air sans limites ...

Que ce moment de la présentation de ma grosse moumoune fut grisant, comme il fut érotique de voir se rapprocher un tout jeune homme d'une vingtaine d'année, la queue au garde à vous, et de lui proposer ma moule toute poilue de femelle à fourrer, puis à limer ...

Ce sont des instants que je souhaite à toutes les femmes de ma génération, que de connaître et de partager des moments si intimes avec de jeunes butineurs comme ceux dont elles ont tant rêvé en ayant été adolescentes, peut-être sans jamais les avoir reçus entre leurs cuisses si encore trop timides ou prudes ...

A mon âge, une femme doit savoir aller droit au but et ne pas hésiter à choper le manche d'un jeune partenaire pour le lécher goulûment puis se l'enfiler dans ses trous, un coup par devant, un coup par derrière, c'est tellement bon de vivre pleinement sa sexualité débridée sans honte ni tabous quand on est une dame qui assume ses envies, et là, face à la toison noire bien épaisse de mon jeune amant qui avait malgré tout pris le soin de raser son engin et ses valseuses pour me les rendre bien visibles, j'avais le sillon qui dégoulinait de ses coulées de cyprine ...

Voyez, une femme poilue telle que moi, avec la motte touffue jusqu'au nombril, le sillon caché sous de longues mèches de poils, c'est une vraie femelle, ça en a entre les cuisses, et un jeune homme en recherche de sensationnel a tout à gagner à se la faire, quant à moi, je m'offre sans hésiter !   

Bisous coquins.                    

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr