Joséphine de l'Île Maurice

Coucou,

Avec cette chaleur, garder ta toison serait de la folie. Tu aurais encore plus chaud.

Tu es beaucoup mieux rasée.

Mon zizi est toujours rasé et apprécie beaucoup cela quand il fait chaud.

Bises.

Oui, je suis restée des années totalement poilue même en été et je sais quelle sensation provoquaient les canicules sur moi lorsque j'avais ma babasse laissée hirsute.

Franchement, je me sens bien mieux et plus libre en étant totalement rasée, avec ma chatte privée de son épaisse et longue toison tellement fournie si je la laisse naturelle.

Me raser le ventre, la motte, le con, le cul, les aisselles, les jambs et les cuisses m'est très agréable, je me passe le rasoir jusque dans les replis près du dindon.

Moi aussi j'apprécie quand un partenaire rase bien son zizi sur toute sa longueur s'il a la queue poilue jusqu'en dessous du gland comme c'est le cas pour certains, son pubis au dessus de sa nouille, ses couilles, son cul dans le sillon fessier et autour ainsi que l'extérieur de son maillot comme le font désormais toutes les femmes à minima de nos jours.

Aujourd'hui les hommes se rasent de plus en plus largement même sur les jambes, les cuisses, le ventre, le torse, sous les aisselles, sur les bras et le dos, je trouve cela bien plus sexy quand un homme est lisse de partout.

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Salut,

J'ai découvert les effets de le peau lisse sur tout le corps il y a quelques années, avec ma tante, coiffeuse.

J'étais en vacances chez elle et elle m'a proposé de me couper les cheveux bien courts pour être beau à la plage et avoir moins chaud. Elle était habillée en minijupe sans rien en dessous et en petit top plongeant laissant son ventre à l'air.

J'ai commencé à bander pendant qu'elle me coupait les cheveux en la matant dans le miroir, ce qu'elle a remarqué. Elle a pris sa tondeuse et a mimé la tonte de mon pubis au-dessus de mes vêtements. Je lui ai dit que j'étais d'accord pour qu'elle me tonde les poils, ce à quoi elle a répondu qu'elle comptait, depuis le moment où elle m'a proposé de me couper les cheveux, me déshabiller pour faire un état des lieux de ma pilosité corporelle pour voir ce qu'il y avait à raser.

Elle m'a déshabillé entièrement et je lui ai rendu la pareille.Ensuite, elle m'a tondu, puis rasé de près sur tout le corps.

La rencontre des deux corps rasês, hummmm.

Depuis, elle continue à me raser régulièrement, et je lui fais aussi.

Bisous.

Se faire ainsi raser totalement le corps pour un homme est un vrai délice à ce que j'en sais par ceux qui se le font faire, surtout en été !

Femmes ou hommes, nous sommes plus ou moins toutes et tous unanimes à trouver que se priver ou se faire priver de nos poils corporels se vit comme une libération et rare sont celles ou ceux qui ensuite, veulent revenir en arrière et retrouver leur état sauvage en les laissant repousser.

Moi, je le vis de cette façon et puis quel plaisir de pouvoir vous montrer comment je suis fendue en bas sans devoir écarter de longues mèches comme avant, je me sens comme soulagée d'avoir retrouvé mon minou tout lisse et aussi mes aisselles comme lorsque je n'étais qu'une très jeune fille encore imberbe de partout ...

Avec la toison que j'avais, c'était infernal en été par temps de canicule.

Quel âge a ta tante qui te rase ? Et toi ?

J'espère que tu étais majeur de 18 ans quand ce que tu racontes s'est produit.

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Coucou Joséphine,

Oui, j'étais majeur, j'avais tout juste 18 ans et ma tante en avait 36, un véritable avion de chasse. J'ai aujourd'hui 35 ans et elle 53, mais c'est toujours une bombe.

J'aime me faire raser par ma tante et la raser aussi.

Bises.

Super si vous vous voyez toujours pour ces moments intimes puisque vous semblez être complices et consentants en étant tous deux adultes.

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

J'aime beaucoup ces montages qui permettent de comparer ta babasse super poilue et maintenant ta jolie fente gourmande.

J'avoue ma perplexité : on ne sait que choisir.

En tout cas, non seulement le temps n'a pas de prise sur toi, mais plus excitante, je ne vois pas.

Bises, F.

Oh que tu es gentil de me complimenter de cette façon.

Mais tu sais, le temps passe pour tout le monde et mes 58 ans sont bien présents, même si j'avoue que je suis devenue de plus en plus nymphomane au fil des années, jusqu'à aimer le sexe à outrance, une pulsion intime que j'assume pleinement et publiquement, revendiquant sans aucune honte avoir toujours été dévergondée depuis ma plus tendre adolescence, pour ne pas dire depuis ma pré-adolescence où les garçons des plus grandes classes à l'école, savaient déjà pouvoir compter sur moi pour soulever mes jupes courtes et leur dévoiler en cachette à cette période, mes charmes féminins naissants et ma petite caille que j'ai commencé de raser dès ses premiers duvets à partir de 9 ans afin que ma fente que j'étais fière de montrer, ne se trouve jamais cachée par ma polisité qui commençait à m'envahir entre les cuisses.

Et j'aimais déjà quand les plus grands m'envoyaient du sperme dessus alors que je n'avais que 10, 11 ou 12 ans, quand il me massaient ensuite les parties génitales avec, je le gardais secrètement sur moi en remettant ma culotte qui s'en trouvait humide pour en conserver l'odeur intime.

D'autre part, c'est vrai qu'entre mon style de femelle sauvageonne lorsque je reste naturellement et totalement poilue et mon style opposé de femme glamour qui montre sans plus aucune pudeur la fente goulue de son minou encore plus dénudé lorsqu'il est rasé, la différence est grande.

Mais je suis ravie de lire que dans tous les cas, je t'excite ...

Enfin, comment ne pas t'avouer que j'éprouve une irrésistible envie de m'exhiber encore plus ouvertement lorsque je me prive de mes poils par un rasage quotidien afin de dévoiler publiquement comment je suis joliement fendue entre mes cuisses, j'aime que mes babines soient rendues facilement visibles.

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Mais que tu m'excites !!! Tes photos et tes réponses !!!

Oh ! My ! God !! 

J'ai l'impression que maintenant que je suis rasées en bas, tu aimes regarder entre mes cuisses pour voir comment je suis fendue ...

Te plait-elle ma fente que j'exhibe désormais sans poils pour mieux la montrer ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Tu as bien raison belle Joséphine. J'aime beaucoup regarder ta fente, et le fait qu'elle soit désormais glabre me permet mieux de l'imaginer sous ma langue, longuement, pour te faire jouir profondément sous les yeux de ton mari.

Bises,

F.

Ce que j'aime le plus lorsque je suis rasée, c'est cette capacité que je retouve de pouvoir montrer facilement comment je suis fendue entre mes cuisses, de laisser voir mes babines comme lorsque je n'étais qu'une toute jeune fille à peine pubère qui rasait ses premiers duvets au dessus de sa craquette dès l'âge de 9 ans car j'aimais déjà montrer ma cramouille aux garçons des plus grandes classes de l'école.

Je retirais souvent ma petite culotte discrètement avant d'arriver et ils ne se privaient jamais de me demander de soulever mes jupes une fois sortie pour voir mon abricot qu'ils savaient dénudé et gardé bien lisse, je le faisais sans rechigner, j'étais fière d'être ainsi sollicitée, je me sentais pousser des ailes, j'étais déjà femme avant l'heure alors que mes copines se comportaient encore comme des gamines, ça m'excitait d'être devenue comme les grandes.

Ils m'ont de suite appris à les sucer et fait découvrir le plaisir d'être honorée par leurs jets de foutre que je recevais comme des offrandes alors que je n'avais que 10 ans à peine et les seins qui pointaient tout juste le bout de leur nez sous mes chemisiers encore portés sans soutif.

Ils m'ont aussi amené à découvrir sans tarder mes premiers émois, mes premiers orgasmes en me léchant le con que je gardais toujours glabre pour les attirer et à 11 ans, j'avais déjà été dépucelée en ayant pris goût aux choses de la vie sans me poser la moindre question, je laissais seulement parler mes instincts de femelle, je me laissais régulièrement pénétrer lorsque j'en avais envie et c'était mon secret.

C'est pour ça que je suis restée rasée jusqu'à mes 21 ans où j'ai seulement essayé pour la première fois de devenir naturelle et là, j'ai découvert avec stupeur à quel point j'étais en réalité une femme poilue et combien cela pouvait attirer certaines catégories d'hommes en recherche d'une partenaire naturelle osant se placer sans complexe aux antipodes de la mode.

Depuis, j'alterne avec délice les périodes dans le style "femelle velue et touffue" avec celles dans le style "femme glamour, lisse et bien fendue".

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr