Joséphine de l'Île Maurice
Pourquoi perdre du temps à retirer mon string pour me faire pénétrer par devant par mon jeune amant quand il mourait d'envie de me prendre dans la position du missionnaire et moi de me faire culbuter sans attendre ?
Il me suffisait d'écarter les cuisses que je relevais sans hésiter pour ouvrir le passage à mon jeune partenaire et de pousser sur le côté le fin tissu de ma petite culotte trempée de mouille mais conservée pour plus de rapidité, je me suis faite prendre jusqu'à la garde et défoncer par la teub de mon étalon qui commencait à frotter le bout gonflé de son gourdin dans les replis inondés de ma craquette avant de le faire disparaître entre mes babines agacées et ruisselantes, nous étions pressés de faire l'amour, pressés de baiser encore une fois, putain, qu'on avait envie ...
J'avais la figue mal rasée de quelques jours mais pas encore assez de poils pour que ce soit gênant, j'avais tout d'une femelle en chaleur, lui avait de longs poils sur tout son corps, même sur le sexe, il bandait comme un gorille, me labourait le jardin sans vergogne et poussait son manche toujours plus loin dans ma tranchée pour m'éclater le vag, il allait et venait sans cesse pour me troncher avec toute sa virilité de jeune mâle en rut, je voyais son dard me tringler sans faire la moindre pause, de plus en plus rapidement, ses lourdes boules velues encore pleines pendaient et ballotaient en dessous de lui au gré de ses mouvements devenus bestiaux.
J'avais la chatte en feu à force de me faire limer, j'étais épuisées par mes orgasmes en séries mais je sentais que j'allais exploser encore une fois, "non, non, arrêtes, arrêtes, je t'en prie, arrêtes ..." lui criais-je, mais au lieu de le freiner, je l'attirais encore plus profondément en moi, voulant toujours sentir son zguègue buter avec force contre ma matrice tout au fond de mon tunnel, je voulais qu'il m'explose la grotte encore et encore, on se lustrait le berlingot comme jamais, nos corps se rejoignaient, se mélangeaient, s'étreignaient, transpiraient dans l'épaisse moiteur de nos ébats sexuels qui nous rendaient sans plus aucune pudeur, sans honte ni limite, je voulais qu'il me traite comme une salope, comme une pute, qu'il me déchire la pachole, je voulais recevoir et ce jour là, j'ai vraiment reçu ...
Le chibre tellement tendu au point de ne plus pouvoir se retenir, il est sorti avec peine de ma cramouille qui lui enserrait le noeud et le retenait dans mes entrailles tant mes spasmes orgasmiques me contractaient fortement en dedans et le contraignaient, il a viré son préservatif et le souffle court, m'a arrosé le gazon en repousse d'un énorme jet de foutre épais, blanchâtre, gluant, tout chaud, tout droit sorti de ses balloches alourdies en ayant fini de se traire la bite au dessus de moi jusqu'à me juter dessus, jusqu'à se déverser entièrement pour m'honorer dans un râle puissant qui n'en finissait pas, avant de me masser doucement la foune avec sa semence.
Encore de belles giclées de son nectar le plus précieux que sa cocue de femme n'aura pas eu, je suis toujours contente de lui rendre son mari asseché de la sorte à chacune de nos rencontres adultérines si excitantes et jouissives, je ne me suis pas lavée après avoir copulé de cette façon salace, je sentais le sperme et la femelle entre mes cuisses, j'ai conservé son odeur de mâle sur moi, j'étais satisfaite, comblée d'avoir été souillée ...
Bisous coquins.
Joséphine de l'Île Maurice.
Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr