Joséphine de l'Île Maurice
Au début de l'automne 2024, ma chatte était encore toute poilue, abandonnée à son état le plus naturel et c'était donc un énorme buisson qui pendait impudiquement entre mes cuisses de femelle mature et cougar, s'étalant sur les côtés bien au-delà des limites de mon maillot et aussi sur mon ventre velu jusqu'à mon nombril, mais dans cet état, il m'était impossible de vous exhiber facilement ma fente !
Les plus jeunes de mes amants, parfois âgés de seulement 18 ou 19 ans, étaient toujours très surpris en me déshabillant car non habitués à trouver des toisons aussi fournies entre les cuisses des filles de leur génération, le plus souvent entièrement rasées, les plus audacieuses d'entre elles ne conservant qu'un modeste ticket de métro pour toute marque de leur féminité d'adultes quand elles l'assument.
Et vous, est-ce que ça vous aurait impressionné de me voir avec le ventre, la motte et le con à ce point hirsutes pour m'offrir à vos pulsions sexuelles, pour me faire baiser sans retenue et me faire honorer de vos jets de sperme sur mon énorme touffe ?
Bisous coquins.
Joséphine de l'Île Maurice.
Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr