Joséphine de l'Île Maurice

Je n'ai pas eu à regretter d'avoir dit oui sans aucune hésitation à cette homme rencontré dans le supermarché où je faisais mes courses ce jour là, il m'a parfaitement baisée, je me suis régalée en m'étant faite éclater par tous mes trous ...

 

 

 

J'étais excitée à la folie quand il m'a fourré sa matraque, je vous jure que je n'attendais que cela et comme je ne garde plus mes poils sur le con mais seulement un léger ticket de métro bien taillé sur la motte, il a pu se glisser sans aucune difficulté dans ma tirelire dégoulinante de cyprine, pas besoin de lui faire le chemin au milieu de ma jungle comme je le devais pour mes partenaires lorsque je restais velue sans me tondre la cramouille, mais si j'avais pu prévoir cette rencontre, je me serais rasée la figue de près pour être nette ...

 

 

Je l'ai tout de même aidé à s'enfiler jusqu'au fond de ma grotte, je voulais sentir son pieu buter contre ma matrice, je voulais sentir nos sexes mal rasés s'entrechoquer peau contre peau et ce qui devait arriver arriva, il n'a pas résisté longtemps à limer ardemment dans mon tunnel étroit tant il était excité, il a giclé rapidement dans sa capote tout au fond de mon ventre de femelle, j'ai senti en moi son sexe gonfler encore, se contracter, je l'ai senti exploser dans mon gouffre, juter par sacades et je suis moi-même partie à cet instant dans des spasmes sans fin, dans un orgasme à rallonge, un orgasme des plus fous qui m'a emportée vers d'autres cieux ...

 

 

 

J'étais fière de lui avoir servi de vide-couilles, alors une fois qu'il eu récupéré et qu'il a de nouveau bandé, il m'a reprise, cette fois en levrette et m'a finie en m'ayant réellement défoncée par ma petite porte après que je lui ai tendu mon cul que j'aurais voulu pouvoir lui offrir bien lisse sans ce début de repousse qui commençait à m'envahir au bout de 3 jours passés à négliger de me raser le sillon et les fesses, je me laisse rarement pénétrer de cette façon là, mais franchement, je voulais jouir encore et autrement ...

 

 

Wah, que c'était bon, ce mec qui approchait de la soixantaine m'a baisée comme peu d'hommes savent le faire, avec une vigueur si rare pour quelqu'un de sa génération et moi, j'étais comme une jeunette, prête à tout pour le recevoir et le soulager, je me suis donnée à fond !

 

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr