Joséphine de l'Île Maurice

Lorsque je restais toute poilue, il me fallait sans cesse tenir écartées les longues mèches de ma babasse pour faire le chemin à mes partenaires au moment pour eux de frotter leur bite raidie dans les replis de ma cramouille de femelle qui ne pense qu'à s'encanailler toujours un peu plus.

 

 

 

Mais une fois complètement rasée, je peux profiter pleinement de ce moment exquis que j'aime tant sans avoir à me soucier de rien, je peux m'abandonner, m'occuper de mes nichons pour me rajouter du plaisir pendant que le mâle qui veut me tringler commence par venir se frotter le dard sur ma craquette pour d'abord limer sans entrer en moi, seulement entre mes babines ruisselantes de mouille et sur mon clitoris baveux que cela excite jusqu'à déjà me conduire à des orgasmes préliminaires avant même la pénétration qui me rend ensuite toujours aussi démesurément hystérique.

 

 

En privant ma chatte de sa fourrure intime devenue trop fournie, de sa touffe devenue trop longue et encombrante au fil des années, plus besoin pour moi de guider le vit de mes étalons entre mes poils pour qu'ils puissent se le frotter facilement sur ma fente rendue pleinement visible avant de finalement s'engouffrer dans ma chagatte pour s'y répandre, un vide-couilles que tous me décrivent comme accueillant en étant demeuré bien étroit ...

 

 

Et vous, me voyant ainsi totalement glabre même si ma pilosité particulièrement fournie laisse toujours sa marque foncée sur ma peau blanche malgré le rasage, seriez vous prêts à juste venir me frotter le con avec votre bite bien bandée pour commencer à me faire jouir avant de me défoncer ensuite jusqu'à la matrice en me pénétrant bien à fond ?

 

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr