Au printemps de l'an 2023, j'étais si poilue qu'il ne me servait à rien de porter un string ni même une petite culotte sous ma robe, j'en avais une toute naturelle en fourrure pour me tenir chaud entre les cuisses ...

L'inconvénient, c'était qu'avec une toison pareille, aussi énorme qui me remontait jusqu'au nombril, je devais sans cesse en écarter les longues mèches pour ouvrir le chemin à mes partenaires au moment de me faire lécher la fente et le clitoris ou encore de me faire pénétrer la babasse par les belles queues bien bandées de jeunes hommes tels que je les aime, et oui, je suis une cougar !

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Quand j'étais toute poilue, ce n'était pas toujours très facile pour moi de me laisser pénétrer en levrette car les queues de mes amants avaient souvent tendance à s'emmêler dans les plus longues mèches de ma toison lorsqu'elles entraient dans ma caille par derrière ...

En étant totalement rasée, je peux désormais m'exhiber d'une façon parfaitement glamour, sans aucun poil qui puisse dépasser des côtés de mes petites culottes ne laissant plus voir aucun touffe par transparence, face à mon jeune amant qui vient me rencontrer régulièrement en cachette de sa compagne que je contribue à faire cocue, non sans un plaisir vicieux lorsque je vois la trique de ce garçon durcir à la vision impudique de mes parties intimes rendues glabres que je lui dévoile peu à peu ...

Mais je prends toujours soin de bien le sucer avant de me faire sauter, pour que sa bite soit encore plus raide au moment de s'engouffrer dans mon entaille, j'adore pomper son chibre avec une gourmandise que je ne saurais vous cacher ...

En général, il me demande ensuite de me placer de façon à bien voir mon cul en même temps qu'il me ramone ma cheminée d'amour avec son membre viril qui me fait tant mouiller quand je le sens me défoncer.

Il lui arrive dans le feu de l'action, de glisser hors de moi tellement je suis inondée par ma cyprine toujours abondante et dans un mouvement de reins destiné à me reprendre avec la fougue de sa jeunesse que j'aime tant, de s'enfiler accidentellement dans mon petit trou qu'il m'écartelle alors soudainement au lieu de reprendre le chemin de ma grotte en folie de femelle cougar, me faisant échapper un cri de surprise et aussi de douleur à chaque fois que cela se produit ...

Mais je me laisse faire malgré tout afin de ne pas briser son élan et je me surprends toujours à jouir autrement en me faisant exploser cet orifice rarement visité, avant de me retourner et de me faire limer en position traditionnelle du missionnaire, ma préférée !

Là, je peux me faire tringler sans limite sans plus devoir me soucier d'écarter mes poils du chemin de ma vallée des plaisirs, quel bonheur de pouvoir faire ainsi l'amour en toute liberté en ayant la motte et le con bien lisses ...

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

En 2008, lorsque cette photo fut prise, je portais des collants sans petite culotte en dessous, mais j'étais restée si poilue que l'on pouvait nettement voir par transparence à quel point j'étais hirsute.

Cette année, pour éviter de redevenir naturelle, je prends le soin de me raser partout chaque matin au réveil.

Voyez comment je suis bien fendue entre mes cuisses et sachez que c'est hyper excitant pour moi de pouvoir me dévoiler ainsi à votre regard, sans plus aucune barrière ni restriction.

Mais j'ai beau me raser de près au quotidien, la trace foncée de mes poils reste visible sur ma peau, que ce soit sur mon ventre, sur ma chnèque, autour du maillot vers mes cuisses, ou encore sur mes fesses où vous pouvez constater que je suis obligée de me raser très largement en dehors du sillon où j'ai là aussi une repousse rapide et drue ...

Est-ce que ça vous excite lorsque je vous montre mon coquillage et mon petit trou que je prive ainsi de leurs poils féminins afin de me rendre plus glamour pour vous, en femme mature et cougar qui s'imagine que vous bandez et éjaculez en son honneur devant de telles photos impudiques ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

En 2009, j'avais 42 ans et je restais toute poilue, ayant une énorme toison que j'ai conservée naturelle et envahissante pendant des années sur mon ventre, sur ma motte, sur ma fente et jusque dans mon cul.

Cette année, j'ai eu l'envie de me raser totalement la chatte, le ventre, les fesses, mais aussi les aisselles, les nichons, les cuisses et les jambes, j'ai eu l'envie de retrouver le toucher direct de ma peau sur mes parties les plus intimes, de pouvoir enfin, à 58 ans, me masturber plus facilement sans devoir écarter les longues mèches de poils de ma babasse pour me pénétrer et me défoncer la grotte avec mes godes volumineux qui, plusieurs fois par jour, me permettent de me soulager de mes insatiables pulsions sexuelles féminines ...

J'aime me sentir lisse et pouvoir, comme je le faisais lorsque je n'étais qu'une jeune teen-ager, m'enfoncer avec aisance mes jouets jusqu'à la matrice pour me déclencher des orgasmes de folie qui, lorsqu'ils débarquent en force, me dévastent le bas ventre en cascades.

Et puis quel bonheur de pouvoir vous laisser regarder, sans plus aucune barrière, ma fente d'amour, mon clitoris et mes babines, alors je me rase la craquette tous les jours pour rester bien nette.

Est-ce que ça vous excite et vous fait bander de tout voir en détails de cette façon là, allez vous éjaculer en mon honneur en voyant ces images de moi offerte dans mes instants les plus intimes de femelle ?

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr

Une fois que le pas est franchi, une fois que ma toison pubienne a été sacrifiée, il me faut bien assumer l'inconvénient majeur dû à ce choix ...

Je suis si velue, j'ai des poils si fournis au minou, j'ai une repousse si rapide, si drue et si piquante dès le lendemain, que pour rester lisse et conserver ma fente douce et bien visible, il me faut me raser le con, la moule et le cul tous les matins.

Et ça, c'est une corvée, mais j'y prends quand même un certain plaisir, car le passage de la lame sur mes parties le plus intimes me génère toujours des envies qu'ensuite, je dois calmer en me caressant, et là, quel plaisir de retrouver ce toucher que j'avais perdu en étant restée touffue si longtemps, je retrouve de cette façon ma jeunesse et ma petite caille d'antan ...

Bisous coquins.

Joséphine de l'Île Maurice.

Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr