Je sais, j'étais mal rasée sous les aisselles, mais j'étais totalement épuisée, heureuse, je venais de me faire tringler
par mon jeune étalon qui m'avait longuement ramonée en levrette en m'ayant conduite au pays des orgasmes les plus incroyables ...
Mais comme j'étais allongée, offerte avec les cuisses écartées et ma chatte encore béante, mon jeune ami est revenu à la
charge, il ne débandait pas !
Quand il s'est approché de moi, j'ai attrapé sa queue raidie encore recouverte de sa capote et je l'ai attirée vers
l'orifice de ma babasse touffue pour l'y faire se frotter sur mes babines et ainsi titiller mon clitoris qui recommençait dès lors à me rendre folle d'envies les plus salaces, je l'ai de suite
guidée pour faire glisser son dard encore gonflé dans le gouffre mouillé de mes plaisirs ...
Mon partenaire me caressait les seins, je voyais que mes petits nichons laissés un peu poilus lui faisaient envie.
Il ne devait pas tarder à me lécher les tétines et par ce moyen à me faire jouir encore plus intensément en même temps
que sa bite me dévastait tout le bas ventre, j'aimais me laisser baiser par ce jeune homme bien barbu et poilu, bien monté aussi, qui me comblait par ses caresses, par ses longs baisers avec la
langue, par ses léchouilles intimes et par ses coups de reins frénétiques de plus en plus violents ...
Quand il s'est redressé, ce fut pour mieux m'enfoncer sa tige si dure que je la sentais m'écarteler la foune à chaque
mouvement, je lui tenais mes cuisses et mes longues mèches de poils bien écartées pour qu'il puisse me tringler plus facilement, pour qu'il aille plus au fond de moi, il buttait sur ma matrice,
je voulais le sentir me posséder de la manière la plus cochonne qui soit ...
J'étais à la renverse, à sa merci, il me culbutait sans aucune retenue, sans aucun ménagement, avec toute sa virilité de
mâle, je suis une femme et j'ai besoin qu'on me traite en femelle, besoin d'être prise par un jeune homme en pleine force de l'âge, qui sache me déclencher des orgasmes dévastateurs qui me
fassent crier sans plus pouvoir me contenir, à hurler aux plaisirs sans plus aucune pudeur telle une chienne nymphomane aux abois ...
C'était fou et magique à la fois, il me limait encore et encore, et moi je couinais, je pouvais à peine respirer entre
mes spasmes, j'étais réduite à l'état d'animale, j'attendais tout de cette saillie dont j'avais un désir si intense, je me sentais brûlante, il me fallait me faire éclater la moule pour me sentir
enfin épanouie ...
Mon bel étalon me prenait et me reprenait dans toutes sortes de positions, son pubis velu tapait sur ma motte poilue et
sur ma moule quand il rentrait en force en moi, j'avais la grotte en feu, j'étais dans un autre monde, un monde de frivolité, je n'étais plus qu'une chatte à baiser, un vide couilles, je lui
réclamais sa semence mais il tenait bon, il se retenait encore de gicler ...
Mais quand allait-il enfin se lâcher et juter sur moi, sur mes longs poils féminins, me souiller ma toison pubienne
laissée sauvage pour m'honorer ?
Je voulais son foutre, il me le fallait, je l'attendais, haletante, j'étais comme au bord de l'évanouissement tant
j'étais partie loin, je voulais être à lui, rien qu'à lui le temps d'une éjaculation par sacades dont je rêvais ...
Bisous coquins.
Joséphine de l'Île Maurice.
Pour m'écrire : femmepoilue@yahoo.fr
Lundi 10 mars 2025
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