Déjà, quand j'étais encore poilue, la cougar que je suis ne se privait jamais de se faire sauter par de jeunes amants ou
travestis bien montés ...
Mais là, désormais intégralement rasée, avec la chaleur de l'été, je me suis vue prise d'insoutenables besoins de sexe
à assumer, alors, j'ai invité un jeune étalon de 19 ans, à venir me tringler à domicile.
Dès qu'il m'a déballé son paquet, j'ai vu qu'il avait la trique, et avec la passion d'une femelle nymphomane, j'ai de suite
commencé à m'occuper de l'exciter plus encore, au point qu'il m'a fait remarquer que j'avais les yeux qui pétillaient de désirs, lorsque je léchais son énorme engin.
Je me suis régalée à sucer le membre bien raide de ce beau jeune homme tout poilu !
A plusieurs reprises, j'ai senti qu'il risquait d'exploser, alors, à chaque fois, je lui ai serré le bout, pour ralentir
ses réflexes éjaculatoires, puis doucement, je recommençais à le sucer avec volupté, j'aime tellement maintenir une belle pine bien raide, à la limite de vider la paire de couilles qui lui
pendent en dessous, sans toutefous le lui permettre avant un long moment, pour faire monter la pression de mon partenaire !
Puis, je me suis allongée, j'ai largement écarté mes cuisses, et je l'ai guidé vers mon sillon vaginal que je brûlais
d'impatience de me faire limer par son énorme gourdin.
La vision de ma chnèque, pourtant rasée du matin, qui accusait malgré tout déjà, un sérieux début de repousse de sa
toison naturellement si fournie jusqu'à mon nombril, assombrissant un peu ma peau, mais aussi de mes babines rendues parfaitement apparentes par l'absence entretenue de mes longues mèches de
poils, l'excitait tellement, que sans difficulté aucune, il m'a enfoncé son énorme dard dans le con, pour me le défoncer dans toutes les positions.
J'aimais ça, et j'ai commencé à enchaîner des orgames en séries, de plus en plus puissants, de ceux qui me dévastent tout
le bas ventre, me font me tordre la matrice par d'infernales contractions, me transforment en une véritable salope sans plus aucune retenue ni pudeur, et les plus de trente années qui nous
séparent, ne faisaient que me rendre encore plus avide de son sexe, que je sentais aller et venir entre mes lèvres et dans ma cramouille qui en redemandait toujours.
Je me suis mise en levrette et soudain, alors que j'étais au bord de l'évanouissement, tant mes jouissances étaient
devenues intenses, il a brusquement abandonné ma cramouille, pour m'enculer sans me prévenir et sans ménagement, de sa queue bandée qu'il m'a enfoncée par surpise dans mon petit trou bien vite
rendu dilaté, au point d'en faire son objet de plaisir et le mien, m'ayant ainsi entraînée vers d'autres orgasmes, différents mais tout aussi fulgurants, en m'ayant rabaissée au rang d'une putain
soumise à ses plus bas instints, même si je mets toujours un point d'honneur à demeurer non vénale.
Viril à souhait, très velu, car doté d'une fourrure si épaisse partout sur son sexe et sur son corps, qu'il est obligé de
tailler ses poils particulièrement fournis, ce garçon bien monté m'a éclaté la rondelle de son merveilleux engin, finissant par se laisser aller dans de longs râles jouissifs et dans
d'interminables saccades, à me gicler toute sa semence dans le cul.
Toute entière, même s'il a éjaculé dans son préservatif, je n'étais plus qu'un vide-couilles, je ne touchais plus terre, je
n'en revenais pas, moi la femme mature et comblée que j'étais, de m'être ainsi faite défoncer par tous mes orifices, par mon jeune amant qu'il me tarde déjà de revoir, car plus les années
passent, plus j'apprécie de m'offrir sans limites à de jeunes partenaires occasionnels, n'ayant jamais pu être la femme d'un seul homme, trop portée sur la chose que je suis.
Bisous coquins.
Joséphine de l'île Maurice.
Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr
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